L'essentiel à retenir
Chance, le bilan de compétences en ligne pour choisir un travail qui rend heureux(se), représente, aux yeux des investisseurs publics et privés, une réponse forte en temps de crise. Communiqué de presse.
Chance, le bilan de compétences en ligne pour choisir un travail qui rend heureux(se), représente, aux yeux des investisseurs publics et privés, une réponse forte en temps de crise.
Une question de sens
La crise sanitaire planétaire a d’ores et déjà révélé les questions sur ce qui a du sens : les applaudissements quotidiens aux personnels soignants, aux caissiers et caissières, marquent un tournant historique et valorisent le sens, la valeur des missions et le courage d’acteurs clés de la société. Dans le même temps, l’inquiétude envahit les individus et l’économie mondiale : il faut assurer un avenir qui fonctionnera pour chacun et pour la société dans son ensemble. Les nombreuses personnes qui se posaient déjà des questions sur leur travail voient ces réflexions prendre davantage d’ampleur avec la crise et le confinement. Et beaucoup d’autres vont devoir changer radicalement de voie pour préparer et sécuriser leur avenir, leur métier actuel risquant d’être durement précarisé.
Françoise Gri, ancienne CEO de Manpower France et d’IBM France, investisseuse de Chance et désormais membre de son board :
“Dans de telles circonstances, Chance est un moyen efficace pour structurer sa réflexion, et envisager l’avenir avec pragmatisme, en tenant compte de ses aspirations, compétences et impératifs personnels.”
Ludovic de Gromard, CEO et cofondateur de Chance :
“Chance est né précisément pour répondre à la question du sens au travail. Le sens ne se produit pas ex-nihilo par des injonctions sur “ce qui en a” ou pas, mais doit être relié aux individus, à leur mode de fonctionnement propre, à leurs moteurs profonds.”
Activités en ligne et “PsyTech” : Les deux piliers de la révolution Chance
Après 5 ans de R&D, Chance lance la “PsyTech”, révolution technologique appliquée à l’orientation professionnelle.
Avec la “PsyTech”, chaque étape du parcours Chance s’adapte à chaque individualité grâce à l’analyse en temps réel des données et des comportements. La “PsyTech” dessine un chemin unique pour chacun, le conduisant à prendre une série de décisions informées pour construire le choix professionnel qui lui correspond le mieux.
Par les activités en ligne, l’utilisateur est amené à réfléchir en profondeur à son propre fonctionnement : personnalité, manière de faire des choix, priorités de vie, ce qui a du sens, ce qui n’en a pas. Puis il se voit recommander plusieurs pistes professionnelles correspondant à ses aspirations. Suit une phase d’exploration méthodique visant à dégager un choix final. Enfin, Chance accompagne l’utilisateur jusqu’à ce qu’il atteigne son nouvel objectif professionnel.
Des séances avec un coach complètent chaque étape du parcours : un coach professionnel, choisi sur-mesure, intervient pour des séances individuelles, pour travailler en particulier sur les blocages psychologiques pouvant exister dans cette réflexion en profondeur.
La promesse ferme de Chance : que chacun, quel que soit son passé, parvienne à choisir le travail qui le rendra heureux.
5,6M € : L’investissement conjoint d’acteurs publics et privés en “temps de guerre”
Un entourage unique : d’un fonds d’impact londonien à Alain Cojean en passant par le ministère du Travail et Google.org
Chance accélère sa croissance en France avec une nouvelle levée de fonds menée par le fonds d’impact londonien Zulu Group d’Alexander Asseily (fondateur de Jawbone). Plusieurs dirigeants français et internationaux comme Jean-Bernard Lévy (CEO de EDF), Françoise Gri (ex-CEO Manpower et IBM France), Alain Cojean (fondateur de Cojean), la famille Poutrel (fondateurs d’Ingenico) ou encore Frederic Kerrest (cofondateur d’OKTA) viennent renforcer l’entourage déjà solide de la start-up sociale française. Ces apports viennent compléter la reconduite du partenariat historique de Chance avec Google.org, pour une nouvelle donation de 500k€, une subvention supplémentaire d’1M€ du ministère du Travail (dans le cadre du Plan d’Investissement dans les Compétences) et une nouvelle dette de BPIFrance de 600k€.
Un comité scientifique de premier plan
Avec comme Président d’honneur le prix Nobel de la Paix Muhammad Yunus, Chance a réuni dans son comité scientifique de grands noms comme Robert Dilts ou encore l’ancien ministre de l’Éducation nationale et ex-Président de l’OIT à l’ONU, Gilles de Robien.
Une reconnaissance institutionnelle avec l’éligibilité au CPF
Récemment référencé Datadock et finançable par le Compte personnel de formation (CPF), Chance obtient, après 5 années de Recherche & Développement, une reconnaissance à la fois institutionnelle, économique et scientifique.
Ludovic de Gromard, CEO de Chance :
“Cette levée, ces reconnaissances multiples et ces partenaires d’excellence nous confortent dans notre ambition : que grâce à Chance, chacun puisse pleinement choisir et obtenir le travail qui le rendra heureux.”