Résumé
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L'essentiel à retenir

Avec 4 000 personnes inscrites sur la plateforme Chance en 2 mois sur les mois d’avril et de mai, la fréquentation a doublé par rapport aux deux premiers mois de l'année.

Chiffres et données Chance pendant la période du confinement

Depuis le début de la crise, le nombre d’utilisateurs monte en flèche

Ludovic de Gromard, CEO et cofondateur de Chance :

“Il y a surtout deux types de populations qui font Chance depuis le début de la crise : ceux qui sont à la recherche de sens ou d’utilité sociale ; mais aussi, et c’est nouveau, des gens qui ont peur des licenciements économiques à venir et sont donc proactifs pour se réorienter dans d’autres secteurs.”

Un besoin de changement qui amène chez Chance une majorité de cadres, en emploi depuis au moins 10 ans

  • 80% des utilisateurs qui se sont inscrits durant le confinement sont actuellement en poste,
  • 50% ont le statut cadre,
  • 1/3 sont en poste depuis au moins 10 ans,
  • Enfin, le nombre d’hommes utilisateurs de Chance a augmenté de 10 points durant le confinement (soit 30% d’hommes).

Le parcours Chance est 100% en ligne, composé de 3 phases de réflexion (introspection, exploration, validation du projet) alliant séances en visio avec un coach professionnel et activiés individuelles à réaliser en ligne pour construire un choix professionnel aligné. Durant le confinement, nous avons observé un temps presque doublé consacré à l’introspection chez nos utilisateurs, notamment avec l’activité “Qu’est-ce qui vous retient”, visant à faire un premier point sur les “croyances limitantes” qui empêchent les individus d’avancer dans la vie, l’analyse des retours personnels et professionnels que fait son entourage à chaque utilisateur, ou encore la réflexion sur les modalités via lesquelles les choix du passé se sont faits.

C’est le cas de David, directeur administratif et financier de 34 ans à Lille, qui s’est plongé dans Chance dès le début du confinement. Associé au chômage partiel, ce moment a été l’occasion de se recentrer sur lui-même, sur ses besoins profonds :

“Le confinement, à mes yeux, a été une énorme opportunité. J’étais en chômage partiel, en télétravail, donc je bossais assez peu mais je garde un rythme sain. Je suis donc en éveil puisque j’attends des mails de travail, et donc en attendant, je réfléchis activement au sens que je veux donner à ma vie, et je consacre 2 à 3 heures par semaine à Chance. Quand je fais Chance, je me mets à fond, je m’isole et je me concentre. Cette crise doit laisser en héritage la question du commun, du collectif, et c’est à ce modèle nouveau, à un nouveau souffle, que je veux participer.

2020 : la notion de “réussite” correspond de plus en plus à un alignement profond de son activité avec soi-même

Cette crise a permis à David de repenser la notion de réussite :

“Ce qui a été re-trié, c’est la notion de réussite, de statut social, et même de rémunération. J’ai fait le choix d’être prêt à en sacrifier une partie si c’est pour gagner autre chose essentielle à côté : être fier de ce que je fais. Je n’ai pas de honte de mon métier actuel, je n’en suis juste pas fier.”

Résultat, son objectif est de créer son activité autour de la transmission et de l’enseignement - un projet en cours de définition avec Chance.

La crise et le confinement ont nourri une crise de sens

La crise planétaire, mettant en suspens certains emplois et en valeur des métiers utiles à la société, a suscité une réflexion profonde chez les actifs français : vers où aller pour faire la différence ? Si mon métier est à l'arrêt, en quoi suis-je vraiment utile ? Mon métier va-t-il purement et simplement disparaître ?

Le confinement a quant à lui été un catalyseur de réflexion

Qu’ils aient été en télétravail ou en chômage partiel, désormais face à un temps plus long et précieux, les actifs ont pu se confronter à des questions repoussées depuis longtemps sur le sens de leur vie, et ont pu corréler davantage leurs besoins d’épanouissement professionnel et personnel, la sphère intime ayant été, du fait du confinement, celle du travail.

Une étude Monster via Yougov menée du 29 avril au 1er mai a du reste mis en lumière ce besoin de sens chez les actifs français, que nous observons chaque jour chez Chance : seuls 13% trouvent du sens dans leur emploi, et 55% disent en vouloir davantage.

Les données utilisateurs de Chance montrent un fort besoin de sens et de reconnaissance

  • 40,5% de nos utilisateurs ont exprimé ne plus trouver de sens dans leur métier,
  • 39,8% ne se sentent pas reconnus dans leur lieu de travail,
  • 35,1% ont déclaré s’ennuyer au travail.

Équilibrer vie professionnelle et vie personnelle : un besoin accru durant le confinement

Durant le confinement, enfin, la moitié (49%) des utilisateurs Chance affirmaient ne pas avoir d’équilibre suffisant entre leur vie professionnelle et personnelle et avoir besoin de davantage de souplesse sur ce plan, contre une moyenne en “temps normal” de 33,2% (un chiffre du reste déjà considérable).

Ludovic de Gromard :

“La grande spécificité de Chance est la PsyTech, qui en fait le seul pure player de la reconversion professionnelle en ligne, où Psychologie et Technologie ont été pensés de manière imbriquée pour se renforcer l’une l’autre. Chez Chance, un travail est défini par 4 piliers : Finalité + Métier + Environnement de travail + Impératifs personnels.

Et donc les utilisateurs peuvent analyser l’ensemble de ces points au travers d’une réflexion à la fois profonde et pragmatique, les amenant à un choix qui leur correspond vraiment - que cela se matérialise par une reconversion complète avec changement de métier, par un changement d’environnement et/ou de finalité, ou par la création d’une activité extra-professionnelle comblant des besoins d’équilibre et d’utilité.”

(Re)donnez du sens à votre vie pro

La méthode Chance a accompagné plus de 20 000 personnes jusqu’à l’aboutissement de leur projet professionnel.

collaborateurs
star shine

+20 000

personnes

accompagnées dans leurs projets pro depuis 2015

group

+350

coachs

partenaires certifié·es et formé·es à la méthode Chance

desktop

+500 000

heures

d’accompagnement pédagogique délivrées